L’exposition in utero au stress thermique a des effets à long terme sur la microstructure et la fonction des glandes mammaires chez les bovins laitiers.
Titre de la publication: In utero exposure to thermal stress has long-term effects on mammary gland microstructure and function in dairy cattle
Le réchauffement climatique pourrait contribuer à réduire la quantité de lait dans les laiteries du monde entier. Le rendement en lait est significativement plus faible chez les génisses de première lactation qui ont subi un stress thermique pendant la gestation. Pourtant, la raison exacte n’était pas bien comprise jusqu’à ce que les chercheurs de l’Université de Floride montrent comment le stress thermique in utero affecte le développement des glandes mammaires. Les résultats peuvent suivre les génisses près de deux ans après que l’épisode de stress thermique ait eu lieu. Grâce à ces recherches, les producteurs peuvent améliorer la production laitière future en réduisant le stress thermique chez les vaches taries.